Rencontre avec une photographe mariage
Storyteller Photographie

Bienvenue sur le nouvel article de notre blog “Oui” by New White Story !

New White Story est une boutique en ligne d’objets de décoration, mode, bijoux et accessoires finement sélectionnés pour vous accompagner dans vos événements et plus particulièrement lors du jour de votre mariage.

Aujourd’hui, nous souhaitons partager avec vous notre interview avec Sana, qui est depuis plusieurs années photographe mariage et lifestyle.  

Le photographe est un des postes clés d’un mariage car les photographies prises lors du grand jour seront celles d’une vie et bien plus. Ainsi, il est important de bien le choisir pour obtenir les visuels que vous conserverez et partagerez avec vos proches. Un univers qui répondra à vos attentes et retranscrira les émotions de ces moments chers.

Nous avons donc rencontré Sana, la photographe de Storyteller Photographie. Elle nous a fait part de son parcours, son métier de photographe, notamment lors des mariages, son approche et les questions indispensables pour bien choisir le professionnel qui vous accompagnera durant cette jolie fête et sera vous mettre en valeur. 

Si vous venez de notre part auprès de Storyteller Photographie, un petit cadeau vous sera accordé.

Pour en savoir plus, rendez-vous à la fin de l’interview.

Interview

New White Story : Bonjour Sana, merci de nous accorder cette interview et de nous en dire plus sur ton métier. Est-ce que tu peux te présenter rapidement, s’il te plaît ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Merci New White Story de me donner l’opportunité de présenter mon métier. Je suis parisienne, je suis née à Paris, j’y ai grandi et j’y vis encore. J’ai la trentaine, j’ai deux enfants qui sont merveilleux (avec toute l’objectivité d’une maman bien sûr). Je suis photographe à Paris spécialisée dans les reportages familiaux, le cœur de mon travail consiste à immortaliser tous les moments de joie qui composent la vie : mariages, grossesses, naissances, moments en famille et entre amoureux. Je travaille également à Djerba (Tunisie) et Montréal (Canada).

New White Story : Quel est ton parcours éducatif/professionnel ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Après des études de langues, puis un master en marketing et en tourisme, j’ai tout de suite intégré une grande entreprise de e-commerce dans laquelle j’ai travaillé pendant plus de 10 ans, dans le marketing digital, plus précisément dans le e-merchandising. 

J’ai été attirée très tôt par l’art. Mon grand-père maternel était un talentueux potier, c’était son deuxième métier en plus de celui de notaire (la combinaison improbable), et je pense que ça m’a inconsciemment beaucoup influencé. C’était un véritable artiste qui était profondément passionné par ce qu’il fabriquait et vendait, chaque pièce qu’il créait avait une histoire. Mes parents m’ont appris très tôt à m’ouvrir au monde qui nous entourait et à être curieux : mon père a un œil particulier sur le beau et des gouts très recherchés en décoration, il m’a appris que chaque détail était important dans les choix des couleurs, des formes, des ambiances pour obtenir le rendu final souhaité, et je pense qu’il a aussi influencé ma vision des choses. Il a développé son approche à l’art tout seul, contrairement à ma mère qui a grandi dans cet univers qu’elle nous a transmis peut-être sans s’en rendre compte car ça faisait partie d’elle. 

Au-delà de ça je viens d’une famille d’entrepreneurs, de médecins, d’architectes, tous à leur compte : mon père était patron et a toujours dit qu’il ne voulait pas de chef au-dessus de lui, je pense que c’est une petite graine qu’il a plantée dans mon esprit depuis mon enfance et en grandissant, je suis devenue comme lui. J’ai toujours mal supporté le concept de hiérarchie, j’ai toujours eu besoin de gérer mon temps comme je le voulais, même si ça signifie travailler dur et faire des sacrifices.

Je pense aussi que le fait que je sois allée au lycée en face de la Maison de la Photographie dans le Marais à Paris a joué dans le développement de ma passion : pendant trois ans, à chaque pause déjeuner à rallonge ou quand un cours était supprimé, j’allais découvrir les expositions pour éviter d’aller en permanence. Tout ce background a donc contribué à ce que je fasse ce métier de photographe aujourd’hui. 

“Le fait que je sois allée au lycée en face de la Maison de la Photographie dans le Marais à Paris a joué dans le développement de ma passion”

New White Story : Comment as-tu débuté dans la photographie ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : J’ai toujours eu un livre et un appareil photo entre les mains (j’ai d’ailleurs des photos de moi avec un Kodak autour du cou à l’âge de 9 ans). D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été dans l’observation, je détestais être le centre d’attention : la photographie, avec la lecture et l’écriture, me permettait d’être dans ma bulle, de développer mon imagination et ma créativité en toute tranquillité. Je lisais donc beaucoup, j’aimais les histoires, j’en écrivais souvent aussi, et puis finalement j’ai troqué le stylo pour un appareil photo, et aujourd’hui je continue à écrire des histoires à travers des images.

New White Story : Quel fût l’élément déclencheur ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : A vrai dire, au fur et à mesure des années, les études et ensuite le travail m’ont un peu éloignée de cette passion. Puis est né mon fils, et je me suis mise à chercher un photographe bébé pour organiser une séance pour ses 6 mois. Et là, j’ai eu un mini-déclic en observant la photographe Aline Deguy pendant le shooting. Je me suis dit « voilà ce que je veux faire dans ma vie ! » : faire de ma passion mon métier. Un an plus tard, j’ai participé à un concours international de photographie en soumettant une photo sans trop y croire, et je suis arrivée dans le top 3, avec une exposition-vente à l’étranger. Voir ma photo exposée parmi d’autres a été super émouvant. Mais c’était une parenthèse qui a vite été fermée. J’étais dans un quotidien millimétrée entre mes deux enfants, mon travail à temps plein, notre maison à retaper, nos voyages à organiser… J’étais dans une routine en pilotage automatique et je ne voulais pas prendre le risque de faire bouger cet équilibre que j’avais mis du temps à trouver. Ça a duré des années.

New White Story : Mais la passion est souvent bien plus forte que la raison…

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Finalement il y a eu deux éléments déclencheurs à ma reconversion. L’un m’a poussé à la réflexion, l’autre à l’action. Ça a vraiment été un cheminement, ce n’était pas du jour au lendemain. Premier élément : la pandémie. Je me suis retrouvée en full télétravail pendant un an, j’ai pu ralentir le rythme et me poser des questions que je n’avais jamais eu le temps de me poser quand j’étais dans le tourbillon du métro/boulot/dodo. Clairement je ne voyais plus de sens à ce que je faisais : je travaillais dans le marketing en e-commerce, mon travail consistait à trouver tous les moyens possibles pour faire surconsommer les gens, dans un monde où il devenait nécessaire de consommer de manière plus raisonnée. Mon métier devenait de plus en plus incompatible avec mes valeurs, s’ajoutait à cela un moule dans lequel il fallait absolument entrer, je me sentais de plus en plus en décalage avec le monde du travail en entreprise, et je ne l’ai plus supporté. Voilà le deuxième élément déclencheur, celui qui m’a poussé à me lancer concrètement.

Mais, honnêtement, il a fallu que mes proches me poussent beaucoup pour que j’ose proposer mes services. J’en profite pour les remercier d’avoir cru en moi avant moi-même, surtout une personne en particulier, elle se reconnaitra. Ils m’ont poussé à sortir de ma zone de confort qui n’était finalement plus si confortable que ça, et m’ont fait réaliser que la peur de l’échec ne devait pas me paralyser.

New White Story : Nous sommes entièrement d’accords avec toi !

New White Story : Peux-tu nous en dire plus sur ton métier de photographe et ce qui te motive au quotidien ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : J’adore ce métier ! Après chaque shooting, je compte les jours pour le suivant. J’ai une poussée d’adrénaline à chaque fois, chaque rencontre est différente donc un nouveau challenge super stimulant. Je suis très minutieuse, je peux passer une heure sur la retouche d’une seule photo pour avoir le rendu que je veux, c’est une qualité mais un défaut en même temps, surtout quand tu as 500 autres photos qui t’attendent derrière. Les photographes que j’ai rencontrés m’ont dit qu’il fallait que je sois moins exigeante avec moi-même mais je pense que j’ai besoin de cette exigence pour me dépasser. Et aussi car je suis un peu impatiente dans mon travail, je l’avoue.

L’autre chose qui est importante pour moi dans ce métier, c’est de faire adhérer les gens à l’idée qu’il est essentiel d’immortaliser le présent, que ce n’est pas inutile de faire appel à un photographe contrairement à ce que j’ai déjà pu entendre : un œil extérieur, créatif et bienveillant, mais surtout objectif, n’aura rien à voir avec un selfie ou même une photo prise avec un smartphone dernier cri. Et surtout l’expérience est totalement différente. Chaque galerie livrée est une immense satisfaction et le retour de mes clients heureux est la meilleure des récompenses.

Ce que j’aime aussi, c’est montrer aux gens qu’ils sont beaux. Je dis toujours qu’il n’y a pas de gens qui ne sont pas photogéniques : ça n’existe pas. Ce qui existe ce sont des gens qui ont envie ou pas d’être photographiés. Dans les faits, une séance lifestyle avec moi se passe naturellement, comme une balade, on va se promener ensemble, on va rire, on va parler de choses et d’autres. Lors des sessions engagement ou des mariages, si les mariés s’aiment, qu’il y a une complicité en eux, et qu’ils ont envie d’être devant mon objectif, les photos seront réussies.

J’aime aussi le fait de continuellement apprendre des photographes que je rencontre, que je considère comme des confrères et pas du tout comme des concurrents (coucou Elina Chantel et Sabrina GS) : je suis convaincue qu’il y a de la place pour tout le monde et que chaque photographe a un style qui lui est propre, et donc des clients qui lui sont propres.

“Je suis convaincue qu’il y a de la place pour tout le monde et que chaque photographe a un style qui lui est propre”

New White Story : Peux-tu nous raconter une anecdote ou un souvenir d’un de tes shootings photos ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Une de mes premiers modèles, donc autant dire que je n’étais pas à 100% confiante, qui a été très émue en voyant ses photos : elle m’a appelé en pleurs en me disant que c’était la première fois de sa vie qu’elle se trouvait belle… Je précise que je ne photoshope pas mes clients, donc elle se voyait telle qu’elle était vraiment, et je pense que c’est ce qui l’a le plus touché.

Il y a aussi cette jeune femme, à la fin d’une séance couple, qui m’a dit qu’elle ne s’attendait pas à vivre une telle expérience de connexion avec son mari car ça faisait longtemps que celui-ci ne l’avait pas regardée droit dans les yeux avec autant de tendresse (lors de la séance je demande parfois aux couples de se regarder avec amour, sans se parler). Ça m’a fait très plaisir de la voir repartir heureuse.

New White Story : C’est tellement touchant d’avoir ces retours. 

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Il y aussi cette dame de 60 ans, à qui les amis ont offert un shooting pour son anniversaire. Elle n’avait pas confiance en elle, elle n’avait jamais posé devant un photographe, elle avait énormément de doutes, elle avait vraiment hésité avant de m’appeler pour convenir d’une date.

C’était un vrai challenge pour moi car je n’avais jamais été dans cette situation auparavant. Je lui ai demandé de choisir un lieu qui lui tenait à cœur, mon but était qu’elle soit dans un endroit familier qui allait la détendre. Elle a choisi l’hôtel de la Marine, un lieu qui signifiait beaucoup pour elle. Au fur et à mesure de la séance elle s’est révélée, on a beaucoup discuté entre les prises de vue, j’ai pris mon temps, elle m’a fait visiter l’endroit, et à la fin du shooting elle riait. La différence est vraiment flagrante quand on regarde les photos du début du shooting et celles de la fin.

Elle m’a dit, au moment de nous quitter, que ça faisait très longtemps que personne ne lui avait dit qu’elle était belle, alors que moi je n’arrêtais pas de le lui répéter, et qu’elle se sentait jolie grâce à moi.

C’est en ayant ce genre de retours que je réalise que ce que je fais a une vraie valeur, pour mes clients et pour moi-même

New White Story : Et concernant les mariages, pourquoi t’intéresses-tu particulièrement à ce secteur ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Quand on se lance en photographie, pour la majorité, on expérimente beaucoup de choses au début. Car pour pouvoir se spécialiser il faut avoir été généraliste, il faut avoir essayé, et voir ce qui nous plait le plus.

J’ai commencé par faire des portraits, de femmes uniquement, avec principalement une dimension mode. J’ai adoré le faire mais très rapidement, je me suis rendue compte que j’avais besoin d’aller plus loin : raconter une histoire. Bien sûr c’est possible de le faire au travers d’un portrait solo, mais j’avais personnellement besoin de plus d’interactions devant mon objectif. J’ai donc élargi mes prestations aux couples et aux familles.

Puis j’ai réalisé que j’aimais énormément les photos avec un style reportage et quel meilleur moment qu’un mariage pour pouvoir le faire ? J’aime quand les mariés regardent les photos et découvrent des choses qui se sont passées lors de leur journée mais qu’ils n’avaient pas vues. C’est là ou mon travail prend tout son sens : leur faire revivre cette journée chargée en émotion avec le regard de leurs invités également.

New White Story : Quels sont les conseils que tu donnes aux futur.es marié.es et les questions à se poser avant de faire appel précisément à un photographe ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Je leur conseillerai de ne pas choisir leur photographe uniquement par rapport à ses tarifs. Beaucoup de mariés prévoient un petit budget pour la photo puis sont surpris/déçus car cela ne correspond pas aux photos qu’ils avaient imaginées.

Les mariages peuvent impliquer beaucoup de dépenses, je suis moi-même mariée donc j’ai connu ça. Cependant, à mesure que le temps passe, le lieu devient juste une toile de fond pour les souvenirs, la robe peut être conservée mais jamais portée à nouveau, la nourriture, la boisson et le gâteau ont disparu en une journée. En général ce sont ces dépenses que les mariés priorisent bien qu’elles soient éphémères. Mais ce sont les photographies du jour qui ont le plus d’utilité. La photographie de mariage peut sembler un luxe, c’est un luxe, mais les images que les mariés reçoivent prennent de la valeur avec le temps. Elles sont ce qui les aide à se souvenir du reste, mais le plus important pour moi, elles les aident à se souvenir de l’amour ressenti, et c’est un héritage qu’il ne faut pas négliger.

“Les photographies aident à se souvenir de l’amour ressenti, et c’est un héritage qu’il ne faut pas négliger.”

New White Story : Pour les futurs mariés qui souhaiteraient travailler avec toi, quel est ton style, univers, ta touche en plus ? Est-ce que tu disposes d’un portfolio ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Mon but est d’avoir le style le plus intemporel possible. Je ne sais pas exactement où il se situe, un peu moody peut-être, mais pas vraiment. Je ne ressens pas le besoin de le définir précisément. J’aime les couleurs douces, les jeux d’ombres, les lumières pas trop fortes, les contrastes légers. Mon travail est composé de 90% de reportage, je recherche le naturel, la spontanéité, la simplicité, la fraîcheur. Que ce soit pour les séances lifestyle ou les mariages.
J’aime montrer les scènes larges comme les plus petits détails, la décoration ou les gens qui vont entourer les mariés, à la manière cinématographique. J’aime documenter et contextualiser chaque mariage. J’ai un faible pour les photos volontairement grainées, légèrement floues à certains moments, dans un style inspiré de l’argentique.

Pour moi une photo réussie n’est pas forcément une photo super nette, bien cadrée et bien exposée. Bien sûr que la technique doit être maitrisée mais ce n’est pas, selon moi, ce qui fait forcément une belle photo. Je pense être une photographe d’instinct, la technique c’est important mais pas le plus important finalement. Le maitre mot pour moi : l’histoire. Je cherche à faire des photos avec une atmosphère spéciale, je fais très peu poser les couples, et même quand je le fais c’est en ayant toujours à l’esprit un rendu naturel et qui laisse transparaitre de l’émotion ; par exemple je ne demanderai jamais aux mariés de faire des cœurs avec les mains ou de simuler un jeu de cache-cache derrière un arbre. Ce n’est pas du tout mon style.

Ce qui m’inspire c’est le moment présent. Je pense que je suis meilleure dans l’improvisation.

New White Story : Quelles sont les formules que tu proposes pour les mariages ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Je propose 5 formules, allant de 3 heures à 15 heures de présence, de 590€ à 1890€. Je propose également un forfait élopement (mariage juste à deux ou en très petit comité – moins de 10 personnes) à partir de 790€. Chaque mariage étant différent, les formules peuvent s’adapter pour devenir sur-mesure.
Que les mariés aient besoin de moi juste quelques heures ou bien toute la journée, ils ont mon implication et ma concentration totale pour leur moment spécial.

New White Story : Combien de temps à l’avance faut-il prévoir pour réserver une session avec toi ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Cela dépend des types de séances, mais je dirais que le plus tôt est le mieux, surtout si c’est pour un mariage qui aura lieu durant un week-end en haute saison (avril à octobre).

New White Story : Est-ce que tu proposes des séances de couples, sessions d’engagements, par exemple ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Tout à fait ! Je couvre les mariages, mais pas que. J’ai l’habitude de photographier des couples qui veulent avoir de belles photos ensemble, que ce soit pour une séance engagement, juste pour se faire plaisir, ou pour une demande en mariage !

Je suis également une photographe familiale, j’accompagne les futurs et jeunes parents dans la grossesse et pour la naissance de leur bébé, sous forme de séances photos lifestyle, à leur domicile ou en extérieur. Je photographie aussi les enfants un peu plus grands, dont les parents veulent immortaliser les premières années.

New White Story : L’interview touche à sa fin. As-tu d’autres éléments à ajouter, s’il te plaît ?

STORYTELLER PHOTOGRAPHIE : Merci pour cette interview. J’ai été très bavarde, moi qui n’aime pas du tout parler de moi d’habitude ! Je pense que c’est la preuve que je suis passionnée par ce que je fais et j’espère continuer à la faire encore longtemps grâce aux personnes qui me feront confiance pour immortaliser les différents moments de leur vie.

New White Story : Merci beaucoup Sana de Storyteller Photographie, pour tes réponses et la mise en lumière de ton activité et de ce que tu peux offrir aux futur.es marié.es.

N’hésitez pas à consulter le site de Storyteller Photographie à cette adresse : storytellerphotographie.com ainsi que son portfolio.

Vous pouvez la suivre ici sur Instagram : @storyteller_photographie

Pour réserver une session avec Storyteller Photographie ou pour la réalisation d’un devis, n’hésitez pas à la contacter via son site internet ou à cette adresse : the.storyteller.photographie@gmail.com

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Belle lecture et à très vite !

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